La station polaire, mise en oeuvre pour supporter aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement marqué par les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs attachant le système de voyance s’étaient déplacés légèrement coude à coude la nuit, sans intervention humaine n
Le prisme dormant
L’année 2101 ne connaissait plus de ères réguliers. Les ages s’étaient désintégrées en fragments désordonnés, alternant chaleur extrême et liégeois maintenant en neuf ou 10 journées. Le Pôle Sud, au moyen Âge désert de psyché, accueillait désormais une humidité instable, traversée de courants tièdes et de brumes salines.
Les levains du passé
Le désert égyptien s’étendait à mal de vue, une mer de dunes mouvantes sous la luminosité crue du soleil. L’archéologue avançait mollement, ses pas s’enfonçant dans le sable brûlant. Son équipe fouillait un site d'avant dont les ruines racontaient l’histoire d’une civilisation oubliée. Ils cherchaient des fragments du passé, m
Les viscères du futur
le monument ésotérique s’élevait au-dessus de la cité d’Azatlán, baigné par la illumination incandescente du soleil. Du sommet des pyramides, les prêtres observaient le sphère en contrebas, interprétant les petites étoiles laissés par les dieux dans le escroquerie des chats et les obscurcissements portées sur la pierre. Mais celui q
L’empreinte de l'avenir
La nuit s’étendait sur le désert de façon identique à un store d’encre, plongeant les dunes dans un silence oppressant. L’archéologue observait le sablier posé amenées à lui, immensément intact, incomparablement mystérieux. Il n’avait pas bougé pendant la première vision, mais une effroi flegmatique s’était installée en lui.